Ostéopathe D.O à Saint-Pierre, La Réunion

Que se passe t’il après une consultation?? L’Effet Rebond

Bon nombre d’entre vous ont surement maudit leur praticien après une séance d’ostéopathie. Souvent, les patients appellent en panique le lendemain d’une séance, s’inquiétant d’avoir encore plus de douleurs que lorsqu’ils sont venu nous voir!

L’effet rebond vient du grec resbon, factice. C’est un terme utilisé dans plusieurs disciplines : en médecine, en psychologie, comme en économie. Dans les soins, cette phase – aussi appelée « phase épileptoïde » – dure en général 10 jours. Dix jours durant lesquels tout est possible.

Ce qui fait que si la personne ressort de la séance avec un soulagement et cette impression d’être dérouillé, les jours suivants sont moins glorieux. Apparaît une phase d’exagération parfois assez spectaculaire : fatigue, courbature, apparition de douleurs variées, impression d’avoir été passé sous un rouleau compresseur, etc.
Normalement, au 11ème jour, miracle : tous ces symptômes disparaissent, y compris celui qui constituait le motif de la consultation.

Lorsqu’on lève l’obstacle – l’origine du déséquilibre – l’organisme peut enfin se lancer dans un processus de réparation. Celui-ci est consommateur d’énergie et provoque des oedèmes, dits de « réparation« , aux endroits qui nécessitent remaniement. Ces zones font partie de la chaine dysfonctionnelle reliant la cause du problème à son expression (le symptôme).

Même si il est désagréable, cet effet rebond est donc de bon augure. Il révèle que l’organisme retrouve le pouvoir de corriger les problèmes à l’origine du symptôme. En général, cela montre que l’on a touché à une cause profonde et assure la disparition d’un amas de symptômes et de la non-réapparition de ceux-ci, sauf si la personne retombait sur la même cause. Ceci serait alors l’indice d’un traumatisme émotionnelle inconscient sur laquelle il conviendrait de se pencher.

Certaines personnes, se sentant désemparées, cherchent dans l’urgence un autre thérapeute pour soulager la situation devenue catastrophique à leurs yeux (cela dépend bien évidemment du niveau d’angoisse de chacun).

Mais si la personne se fait traiter par quelqu’un d’autre après notre séance, deux cas de figure sont possibles :

  • soit la situation s’aggrave encore (les capacités de régénération sont à nouveaux sollicitées et on repart pour un tour) et le patient impute tout ce qui lui arrive au premier thérapeute qui l’a traité ;
  • soit cela s’atténue aussitôt ou dès le lendemain et le patient croit avoir déniché son sauveur, celui qui – enfin – a su trouver la cause de sa maladie. Dans ce second cas également, le premier thérapeute est aussi mis dans le même sac et sera considéré comme un incompétent, de dangereux par surcroît.

Cependant, ce que le patient ignore, c’est que bien souvent le premier thérapeute ayant réellement touché la vraie cause de la maladie, ce qui arrive ensuite est tout simplement la phase épileptoïde de cet effet rebond. Le moindre petit soin dans cette phase accélère la réparation de manière spectaculaire et ce qui était attribué au thérapeute « sauveur » n’est autre que la conséquence naturelle du premier traitement.

Alors maintenant que vous savez ce qui vous attend pourquoi ne pas prendre rendez-vous? 

decodage biologique

Le Décodage Biologique

Comme vous le savez peut-être déjà je suis actuellement une formation afin de pouvoir continuer de vous accompagner le mieux possible. Voici une petite explication de ce en quoi consiste cette nouvelle approche que je vais pouvoir vous proposer sur demande.
Le décodage biologique des maladies est une approche complémentaire aux pratiques des médecins et des psychologues. Depuis plus de 20 ans, il s’appuie sur l’expérience de nombreux chercheurs et praticiens dont Christian Flèche, psycho bio thérapeute, auteur d’une vingtaine d’ouvrages sur le sujet, et dirigeant l’école de Décodage biologique d’Aix- en-Provence. A l’origine de toutes les maladies, bénignes ou graves, il existe dans la vie du patient, un événement particulier, vécu comme un choc. Le décodage biologique a une façon différente d’aborder la maladie. Il, a pour objectif à travers l’écoute, d’accompagner dans la recherche du sens de son symptôme. Et aussi de la cause de ce symptôme.
Les thérapeutes sont là pour vous guider, vous accompagner sur ce chemin parfois tortueux, sombre, mais c’est vous et vous seuls qui détenez la solution.

Aide-toi le ciel t’aidera !

Cette phrase prendra toute sa signification lorsque vous aurez à franchir cette étape, à ce moment de votre vie.
Cette façon d’aborder la maladie ne vient en rien se substituer à la médecine traditionnelle, elle n’est pas là pour donner un diagnostic ou un traitement, mais elle est un atout supplémentaire formidable, non négligeable dans la guérison de chaque patient.
Tous les outils allant dans le sens d’un apaisement de l’esprit, vis-à-vis du problème, d’une réunion émotion et raison, sont les bienvenus: PNL, Hypnose Ericksonienne, Décodage ou autres.
Un traitement chimique, en phase active, ne résoudra le problème de fond (conflit). Ce qui ne veut pas dire d’arrêter ce traitement, BIEN AU CONTRAIRE. Car, ce dernier va vous donner du temps supplémentaire à trouver la solution à votre problème.

Les maladies sont classées en 2 parties

Où il y a du +, Où il y a du –, il faut toujours chercher le + et le – dans le symptôme, cela nous aide à déterminer comment s’est construit le patient.
Quand on est séparé, en manque, (réel, imaginaire, symbolique, virtuel), on va accumuler, on va stocker, on va faire de la masse.
Quand on se sent au contraire agressé, on va plutôt s’effacer, se gommer, se faire tout petit.

Quelques exemples de décodage

  • Côlon : conflits liés aux « saloperies » qu’on nous a faites. Si la pathologie ou les symptômes se trouvent dans le côlon ascendant, il faudra se tourner vers les ascendants de la famille. Si au contraire, ils se trouvent dans le côlon descendant, il faudra chercher chez nos descendants, donc nos enfants.
  • Foie : conflits de peur de manquer de nourriture, ou d’argent. Ils sont en général liés à la famille, aux enfants.
  • Rectum : conflits d’identité dans le territoire. Je suis mis sur la touche, je n’ai plus ma place.
  • Col de l’utérus : conflit de frustration sexuelle (je ne suis pas choisi par le mâle).
  • Seins (glande) : conflit de maternage. Sein droit (pour une droitière) en relation avec le mari, les frères, les soeurs, les proches qu’on materne. Sein gauche, en relation avec un enfant (la droitière donne le biberon de la main droite et a donc l’enfant sur le bras gauche) ou relation mère/enfant (pour une gauchère c’est l’inverse).
  • Moelle osseuse : conflit de très grande dévalorisation en général lié à la famille, le conflit de dévalorisation le plus fort, le plus profond qui existe.
  • Os : conflit de dévalorisation très importante (lié à la perfection). Décalcification, ostéoporose.
  • Muscles : conflit toujours de dévalorisation lié à la performance physique. Je ne suis pas capable de me défendre par exemple.
  • Nez : conflit de puanteur (grosse peur, angoisse, il y a danger, ça pue)
  • Oreille : pour la surdité (il m’est insupportable d’entendre cela). Pour les acouphènes, il s’agit d’un conflit archaïque de vouloir attraper une parole, un son (la voix de maman par exemple).
  • Épiderme : conflits de séparation (eczéma, psoriasis).
  • Artères coronaires : conflit de perte de territoire.
  • Veines : conflit d’avoir beaucoup de saletés à éliminer ( liés aux liens de sang). Varices, phlébites.
Je terminerai en abordant succinctement le phénomène qui est de plus en plus fréquent aujourd’hui, celui de l’allergie.
Je dirais simplement que le sens biologique de l’allergie, c’est de ne pas revenir en contact avec une situation déstabilisante, voire dramatique pour certains. Il s’est produit quelque chose de terrible à un moment donné, les 5 sens ont tout enregistré, mémorisé.
Rien n’a pu être exprimé.
Un ou plusieurs allergènes étaient présents à ce moment-là, et lorsque la personne entre à nouveau en contact avec eux, exemple du pollen, la mémoire est réactivée, et le cerveau donne l’ordre de ne pas revivre ce drame, même si c’est fini depuis longtemps.
La psycho-bio-thérapie, décodage biologique est une thérapie interactive qui est axée sur la transformation. En partant de votre ressenti corporel et émotionnel, vous explorez la mémoire des situations qui y sont associées. Vous libérez les émotions et examinez les croyances générées. En cherchant votre véritable besoin, vous accédez à une réorganisation profonde de vous-même.
Nous utilisons différents outils : la parole, des objets symboliques, des dessins les yeux fermés, des positions corporelles, etc.
La durée dépend de votre objectif. La transformation d’une problématique très ciblée est plus rapide que la transformation d’une problématique qui fait partie de votre structure (personnalité).

Pour en finir avec le tabou des fausses couches

Un témoignage poignant!!
Qui m’amène a vous rappeler que votre Ostéopathe peut avoir les outils pour vous accompagner au mieux dans cette épreuve.
De part son approche globale il vous apportera la capacité de retrouver un équilibre, hormonal, émotionnel et corporel important.
Alors n’hésitez plus osez leur en parler!!!

Source : http://marieaccouchela.blog.lemonde.fr/2016/05/12/pour-en-finir-avec-le-tabou-des-fausses-couches/

la bonne posture quelle imposture

La bonne posture, quelle imposture!!

Pourquoi est-il alors si important d’avoir une bonne posture ?

C’est principalement sur le long terme que se trouve le fond du problème…
Une mauvaise posture au travail peut entrainer des douleurs chroniques au niveau des cervicales, épaules, poignets, etc.
Parfois, il s’agit d’une simple courbature, de fourmillements, qui ne vont pas forcément nous inquiéter.
Ces douleurs peuvent être d’origine articulaire, tendineuse, nerveuse, musculaire ou même vasculaires ; lorsqu’elles ne sont pas prises à temps, ces douleurs peuvent devenir chroniques et durer des années ! Il est donc important d’avoir un poste de travail adapté à nos besoins pour prévenir l’apparition de ces troubles, et d’y appliquer la meilleure tenue posturale possible.

Les grandes erreurs et leurs conséquences :

Au fur et à mesure de la journée, il est assez facile de se laisser glisser le long de son fauteuil, de courber le dos ou encore de croiser les jambes. Ce sont ces positions prolongées qui favorisent les troubles musculo-squelettiques.
Un exemple de mauvaise posture :
  • Fatigue oculaire (écran trop près)
  • Tension cervicale car tête penchée en avant
  • Pression sur le poignet
  • Tension par le poids du coude
  • Courbure accentuée : raideur cervicale et contraction des muscles des épaules
  • Courbure lombaire diminuée favorise troubles au niveau du bassin
  • Respiration diminuée et compression des organes viscéraux
  • Tension des membres inférieurs et mauvaise circulation
Dans cet exemple, vous retrouverez probablement des zones qui vous sont douloureuses !
Voici quelques points précis sur lesquels vous devez bien focaliser votre attention :

Votre posture

Si le fauteuil n’est pas correctement adapté, les courbures physiologiques de la colonne vertébrale ne sont pas respectées.
La lordose lombaire diminuée entraine une contraction du muscle psoas qui gère une partie de la mobilité du bassin et de la bonne mobilité lombaire.
De plus, la cyphose thoracique se retrouve accentuée. La personne se trouve dans l’obligation de redresser la tête afin de regarder son écran d’ordinateur. Cette extension cervicale entraine une compression au niveau de la base du crâne d’où sort bon nombre de nerfs crâniens innervant les viscères et notamment les muscles des épaules !

Mes yeux et mes maux de tête

Si vous souffrez de maux de tête, cela peut du à une fatigue visuelle liée à la fixation de l’écran d’ordinateur.
En effet, cette fatigue visuelle va crisper le haut du cou (muscles verniers) ; cette crispation empêche le bon retour veineux au niveau de la tête et peut provoquer des maux de tête réguliers.

Mes viscères

Le fait d’être courbé en avant comprime les organes viscéraux et empêche leur bon fonctionnement. De plus, le diaphragme ne pouvant pas s’expanser pleinement, la respiration se trouve diminuée. Il a également un rôle dans le « brassage » de l’abdomen ; rôle qui ne peut être assuré par cette position.
Cette position peut donc engendrer des problèmes de transit, tels que la constipation ou des ballonnements.
La position assise prolongée associée au mauvais brassage des viscères abdominales peuvent être le point de départ de troubles de la circulation sanguine. En effet, le bassin constitue une zone importante vasculaire et de drainage. Cette mauvaise position peut donc entrainer des sensations de jambes lourdes, un mauvais retour veineux, etc.

Mon coude

Devant l’ordinateur, les coudes sont fréquemment dans le vide. On ne se rend pas compte que notre coude est très lourd à supporter par nos épaules, surtout s’il est dans le vide. Ceci favorise, ainsi que la mauvaise position de la tête, les contractions des muscles de nos épaules.
De plus, l’axe du poignet ne respecte pas souvent l’axe de l’avant-bras et des pathologies surviennent, telles que le fameux syndrome du canal carpien ! C’est la compression au niveau du poignet du nerf médian qui engendre des douleurs et des fourmillements dans la main.

Quelles sont les bonnes postures à adopter ?

Le siège

– Le dossier : vous devez pouvoir plaquer votre dos au dossier sans comprimer l’arrière de vos genoux. Les différentes courbures au niveau du dos doivent être respectées. Un coussin lombaire peut favoriser la mise en place de ces courbures et vous aider à vous redresser.
– Les pieds doivent idéalement être à plat sur le sol.
– Les accoudoirs seront nécessaires pour éviter toutes tensions au niveau des épaules et cervicales par le poids du coude dans le vide.

L’ordinateur

– Ecran : sa partie supérieure doit se située à hauteur de vos yeux ainsi qu’entre 60 et 90cm de vous. Si vous avez 2 écrans, favoriser un siège rotatif pour solliciter l’intégralité de votre corps et non seulement la partie supérieure du votre corps.
– Le choix de la souris est très important puisque l’axe du poignet doit être maintenu droit, afin d’éviter tout canal carpien ou autres pathologies.
– Pour ceux qui possèdent un ordinateur portable, il existe des stations d’ancrage permettant l’inclinaison de l’écran et d’y annexer une souris et un clavier portable.

Et pour ceux qui travaillent debout ?

Ceux qui travaillent debout doivent tout d’abord veiller à posséder des chaussures adaptées à leurs métiers : des chaussures plates avec un petit talon sont généralement recommandées. Il est important pour ces travailleurs de marcher régulièrement en dehors de leur espace de travail afin d’utiliser des muscles qui n’ont pas été sollicités lors de leur travail.
Les étirements sont très importants pour ces personnes, notamment au niveau du bassin et des membres inférieurs afin d’éviter une contraction trop importante de la chaine musculaire postérieure des jambes pouvant provoquer des rétractions de la voûte plantaire, favorisant notamment les épines calcanéennes.

Et pourquoi ne pas opter pour du assis-debout ?

L’alternance des postures assise et debout à son bureau est une idée qui commence à faire son chemin. Nous avons vu en effet qu’il existait des contraintes dans l’une comme dans l’autre de ces deux postures lorsqu’elles sont maintenues trop longtemps.
Alors pourquoi ne pas avoir un bureau modulable permettant de passer de la posture assise à semi – assise et debout ? Des effets positif concernant la productivité, l’éveil et la fatigue des travailleurs semblent exister.
D’autres bénéfices sont également constatés sur la circulation sanguine, les maux de tête, le mal de dos et les troubles digestifs.

Mon ostéopathe et ma posture

L’ostéopathe étudie votre posture ; si elle n’est pas bonne, des tensions peuvent exister au niveau de votre organisme sans qu’il y ai encore de douleurs ; en relâchant ces zones, vous aurez davantage de facilité à obtenir une bonne posture et à éviter d’éventuels troubles (tendinites, crampes, contractures, névralgie, etc…).
L’ostéopathe pourra redonner de la mobilité à ces zones de contraintes afin de donner une meilleure endurance à votre corps face à cette position répétée.
L’ostéopathe pourra également vous donner des conseils sur des étirements à réaliser au cours de votre journée de travail.
Et n’oubliez pas : n’attendez pas d’avoir mal pour consulter votre ostéopathe !
Le traitement ostéopathique à visée préventive permet de diminuer les troubles musculo squelettiques, de traiter en amont des troubles fonctionnels (constipation, maux de tête, etc…), d’éviter de souffrir de votre dos et de mieux gérer son stress.
De nombreux ostéopathes interviennent ainsi directement au sein des entreprises dans une logique de prévention, bien-être des salariés, et de diminution des arrêts de travail.

Quelques conseils de votre ostéopathe :

  • Il est important de se lever régulièrement au cours de la journée pour ne pas maintenir votre corps dans une même position. Tous les prétextes sont bons : café, photocopieuse, aller voir un collègue pour un renseignement…
  • Du renforcement musculaire peut être intéressant afin de remuscler surtout le haut du dos pour pouvoir se tenir droit plus facilement.
  • Dès qu’une sensation de tiraillement arrive, des étirements sont indiqués pour vous soulager.
  • Etirement des rhomboïdes et du trapèze pour le haut du dos et prévenir toutes douleurs cervicales ou dorsales.
  • Etirements du piriforme et du psoas pour prévenir toutes douleurs dans le bas du dos et dans le bassin (lombalgie, sciatalgie…).
  • Pour les personnes travaillant debout, des étirements des membres inférieurs sont importants, ainsi que ceux du bassin, vus précédemment.
  • Faire rouler une balle de tennis sous son pied permet de soulager les tensions au niveau de la voûte plantaire.